dimanche 10 novembre 2019

Sapiens : Une brève histoire de l’humanité par Yuval Noah Harari




Synopsis (d’Amazon) :

« L’homo Sapiens sera la vedette de la rentrée littéraire puisqu’il s’est imposé par sa capacité à fictionner, donc à créer des récits mythologiques, des dieux, des lois, du réseau...

Il y a 100 000 ans, la Terre était habitée par au moins six espèces différentes d’hominidés. Une seule a survécu. Nous, les Homo Sapiens.

Comment notre espèce a-t-elle réussi à dominer la planète ? Pourquoi nos ancêtres ont-ils uni leurs forces pour créer villes et royaumes ? Comment en sommes-nous arrivés à créer les concepts de religion, de nation, de droits de l’homme ? À dépendre de l’argent, des livres et des lois ? À devenir esclaves de la bureaucratie, des horaires, de la consommation de masse ? Et à quoi ressemblera notre monde dans le millénaire à venir ? »

A noter : j’ai lu ce livre en anglais

D’après les documents j’ai lus comme celle du microbiologiste Richard Dawkins, je comprends que notre espèce a environ de 200 000 ans. Cependant, nous n’avons pas trop d’informations au-delà 10 000 ans de nos existences (10 000 ans est une estimation généreuse). Dans ce livre, Yuval Noah Harari nous explique l’histoire de notre espèce – depuis l’époque homo sapiens ont coexisté avec d’autres espèces humaines jusqu’à l’époque d’aujourd’hui.

Le livre a quatre parties – la révolution cognitive, la révolution agricole, l’unification de l’humanité, la révolution scientifique et une conclusion avec les perspectives d’avenir de l’auteur (je ne suis pas sûr si ces sont les mêmes titres en français mais bien sûr, l’idée serai la même). A travers ces parties, l’écrivain élucide comment notre espèce a évolué, comment on a commencé de coopérer entre nous, comment nous nous adapter aux les conditions différentes sans un changement signifiant de structure de notre ADN. L’écrivain conteste plusieurs points de vues traditionnelles – comme « l’agriculture est la plus grande invention de l’humanité », comment les mythes sont essentiels à la suivre de la société d’aujourd’hui (par exemple, nous croyons qu’un morceau de papier imprimé par une autorité a une valeur, si les gens ne croient plus dans le mythe, la société de la journée va écrouler), et notamment.

Ce livre discute un topique scientifique mais l’écrivain n’a pas utilisé les mots techniques. J’ai pris juste une semaine à lire ce livre (la majorité de ma lecture était pendant mes trajets entre chez moi et mon bureau et réciproquement). C’est un record personnel pour moi de finir un livre non-fiction proche de 500 pages au moins du temps. J’ai aimé que le livre a tient la séquence chronologique et plusieurs fois – que vous soyez un conservateur ou libéral, religieux ou athée, la validité de vos convictions bien ancrées serait fortement contestée par l’écrivain. J’ai trouvé c’intéresse que j’étais choqué par quelque arguments de l’écrivain mais si je réfléchis profondément, j’étais d’accord avec ses arguments même si j’ai conclu que ces inventions sont nécessaires (comme monnaie, les lois, etc.). Je paraphraserais un exemple qui remet en question certaines de mes fortes convictions en matière d'égalité et de droits de la personne :

« Les défenseurs de la qualité et des droits de l’homme peuvent être outrés par ce raisonnement. Leur réponse sera probablement « nous savons que les gens ne sont pas égaux par biologie ! Mais si nous croyons que nous sommes égaux par essence, cela nous permettra de créer une société stable et prospère. » Je n’ai pas un argument contre cela. C’est exactement ce que j’entends par « ordre imaginaire ». Nous croyons dans un ordre particulier pas parce qu’il est vrai, mais parce que croire afin de nous permettre de coopérer efficacement et de forger une société meilleure. »

-          Page 123 dans l’édition anglaise  

Cela étant dit, il y avait des arguments de l’écrivain qui sont superficielles. Il soutient que beaucoup de nos principales aujourd’hui – comme l’égalité, respecter la liberté individuelle sont une version remaniée des conventions monothéistes (que tous sont égaux devant le dieu) (page 258 dans l’édition anglaise) ; c’est une conclusion extrême à tirer. C’est l’idée que deux individuelles ne peuvent pas arriver dans la même idée indépendamment ; et ça contredit l’une découvertes de l’écrivain dans ce livre – où il a expliqué comment les communautés différentes ont développé une société agricole similaire sans contact jamais avec eux. Pour un exemple sur moi-même, même si je tiens les avis forts dans les topiques comme la liberté individuelle, égalité, je suis athée et n'a été ni élevé ni associé à aucune religion monothéiste.

Les autres points saillants dans ce livre sont comment l’écrivain établir les différences entre les humaines et l’autre animaux – spécialement depuis la révolution cognitive. Il démontre également que nos ancêtres étaient en paix avec la nature pour être un mythe et en fait, ce que nous avons aujourd’hui est l’un des meilleurs moments de l’histoire de l’humanité (au contraire des arguments de « bon vieux temps de nos ancêtres »). C’est mon avis aussi depuis longtemps mais c’est bien que maintenant j’ai plusieurs arguments pour ce soutien grâce à ce livre.

Je ne peux pas commenter les aspects techniques et d‘après ce que j’ai compris, la plupart des académiciens n’ont pas un avis très positif sur le livre, mais comme toujours, si vous pouvez satisfaire les académiciens ou la public générale, mais impossible à satisfaire tous à la fois. Sur cette note, je donnerais ce livre une note de huit sur dix. C’est un livre qui vous fera réfléchir, et c’est peut-être le plus grand succès dans la manière de narration de l’écrivain.

La note – 8 / 10

Bonne journée
Andy

samedi 7 septembre 2019

Les Hommes qui n’aiment pas les femmes par Stieg Larsson – commentaire



Résumé (de amazon.fr) :


‘Après avoir perdu un procès en diffamation, Mikael Blomkvist, brillant journaliste d'investigation, démissionne de la revue Millénium et ressasse son dépit. Il est contacté par un magnat de l'industrie qui lui confie une enquête vieille de quarante ans : sur l'île abritant l'imposante propriété familiale, sa nièce, Harriet Vanger, a naguère disparu, et il reste persuadé qu'elle a été assassinée. Si ce n'est pas exactement le hasard qui réunit Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander, réchappée des services sociaux et génie de l'informatique, c'est une vraie chance, car la jeune femme va bien vite s'imposer comme le meilleur atout du journaliste pour élucider l'affaire. L'intolérance, l'hypocrisie, la violence et le cynisme de notre monde contemporain - aux niveaux politique, économique, social, familial - sont les ressorts de ce polar addictif, au suspense insoutenable, qui a enthousiasmé des millions de lecteurs.’




A noter : j’ai lu ce livre en anglais, dans ce commentaire, je vais utiliser les noms et orthographes anglais (par exemple, Hedeby en place de Hedebyön)


Les Hommes qui n’aiment pas les femmes est le premier livre du série Millénium par Stieg Larsson. On dit toujours – « Ne jugez jamais un livre d’après sa couverture », mais je suis coupable de ça, pendant plusieurs ans. Dans les librairies, je voyais ce livre toujours dans la catégorie « Meilleures ventes internationales » et je pensais que c’est un autre roman dans le genre de romance et je ne suis pas l’intéresse. Le titre en anglais, si je traduis mot par mot est « La fille avec le tatouage de dragon » et si l’éditeur anglais a pris la même décision comme l’éditeur français (de traduire mot par mot le titre suédois), peut-être que j’aurais lu ce livre bien avant. Cette perception aurait continué si un collègue de moi ne me dire récemment que c’est un livre à lire absolument.


L’intrigue a deux personnages principaux – Mikael Blomkvist, un journaliste récemment rendu coupable pour diffamation contre un investisseur suédois de premier plan et Lisbeth Salander, une jeune détective privée. La condamnation a forcé Blomkvist de quitter le magazine il a fondu, mais à toute de suite, il a aussi reçu une offre de Henrik Vanger, le vieux chairman de Vanger Corporation qui a 82 ans, pour résoudre le meurtre de sa nièce Harriet il y a quarante ans dans une situation décrire typique comme un meurtre dans une pièce fermée à clé, où le meurtrier et la victime disparaissent sans laisser une trace.  D’abord, Blomkvist n’était pas convaincu de déménager sur une île isolée trois heures nord du Stockholm, mais il veut aussi un pause d’évènements qui viens de passer à Stockholm et Vanger offre une rémunération plus suffisant pour les dommages-intérêts qu’il doit payer pour diffamation. Lisbeth Salander, de l’autre côté, travaille comme une détective privée pour une société de services de sécurité. Elle n’avait pas une formation formelle pour son travail mais s’avère extrêmement précise et détaillée dans son analyse. La seule connexion entre Blomkvist et Salander pour un moitié d’intrigue est qu’elle a fait une vérification des antécédents de Blomkvist pour un client de sa société.


Le livre est très long, avec 560 pages mais je ne me sens pas comme ça car l’intrigue, le rythme et le mode de narration. C’était un début ordonné, commencé par la condamnation de Blomkvist, l’examen de Salander sur Blomkvist, la nomination de Blomkvist par Vanger ; elle a lieu dans les cinquante premières pages, l’intrigue se déplaçant sans discontinuité à partir de celles-ci. Le caractère de Blomkvist était complètement révélé au début par l’enquête de Salander, mais l’écrivain ne nous donner pas plusieurs détails dans le profil de Salander. J’étais trop intéressé de savoir plusieurs détails sur elle et ce contribué à l’effet tourner de page. Un autre personnage clé était Henrik Vanger – le chairman de sa société et il a une obsession de découvrir ce qui est arrivé à sa nièce. Il est suave et réalise ses objectifs sans agression. Il n’a pas un avis positif sur sa famille, pendant la deuxième guerre mondiale, il y avait des membres qui était associés avec les nazis et après la guerre aussi, avec les néonazis, une autre raison d’antipathie d’Henrik envers son clan.


Contrairement des autres romans policiers, où il y a un meurtre et puis une enquête, ici, c’est pour un examen d’un meurtre (croyaient par le police et Henrik) qui passé il y a quarante ans – ce qui ajoute à la complexité de l’affaire. Il y a plusieurs personnages et noms pour se souvenir et ce serait difficile pour quelques lecteurs mais pas plus difficile si vous avez déjà une expérience de lire une intrigue avec beaucoup de personnages. Je n’avais pas trouvé cela difficile en raison de mon expérience ancienne avec les livres comme « The Luminaries » et « One Hundred Years of Solitude » (liens en anglais, je vais les traduire plutôt en français). Ce livre ne pas un roman fantastique, mais la ville de Hedestad et l’île de Hedeby au nord de Stockholm sont fictives et les deux endroits ont été décrire en détail (avec une carte).


Bien que Lisbeth Salander est un personnage vraiment intéressant et j’ai pu me connecter avec beaucoup de ses adjectifs comme introverti, socialement distant, etc. il n’y avait pas détails suffisante sur la façon dont elle a acquis ses compétences (j’espère que je peux trouver dans les suites). De plus, elle accomplissait ses tâches plus facilement et ça me donne une impression d’elle comme un superhéros. C’est vrai qu'elle a traversé beaucoup de difficultés dans sa vie et qu'il lui a fallu des efforts pour atteindre ce stade ; mais au cours de l'affaire, elle a atteint ses fins avec une relative facilitée.  


Le Salander-Blomkvist combinaison était bien contrasté – Salander concentre sur les fins et pas les moyens mais Blomkvist prend beaucoup de décisions pour les principaux, même si ce lui donne un désavantage. L’élucidation de mystère était la meilleure partie de le roman – les personnages multiples ils interagissent. Cela dit, le dernier quart était long et je me suis sensé qu’il n’y avait pas beaucoup de relation avec l’intrigue principale. 


Je juge les livres d’après leur couverture et j’ai souvent choisi des livres sur cette base. Parfois ça marche bien, parfois non, mais c’est un cas où j’ai manqué un bon livre par cette approche. J’adore les histoires policières de cette région et j’ai déjà profiter les livres de Karin Fossum et aussi suivi les séries télévisées comme Broen et Forbrydelsen (séries danoises, liens en anglais, je vais traduire les commentaires en français plutôt). C'est juste que dans ce cas-ci, je ne savais pas que c'était un roman policier et à en juger par tout ce que j'ai eu à dire sur ce livre jusqu'à présent, je noterais ce livre un huit sur dix.


La note – 8/10


Bonne journée,
Andy

mardi 30 juillet 2019

L'Insoutenable Légèreté de l'être par Milan Kundera – Commentaire




A noter : J’ai lu ce roman en anglais

L'Insoutenable Légèreté de l'être est un roman par l’écrivain Milan Kundera. Il comporte les idées de philosophies différentes comme la connexion entre la personne et son corps, mots mal compris, relations humaines et des infidélités avec une touche de politesse. L’aspect politique devient plus intéressant puisque c’était basé pendant l’invasion de la Tchécoslovaquie par l’Union soviétique.

L’intrigue est basée sur deux couples pendant l’époque soviétique en Tchécoslovaquie – et trois des personnages principaux impliqués sont tchèques. L’histoire met en scène Tomas, un homme marié qui, a mon avis, se situe entre le milieu de la trentaine et le début de la cinquantaine à mesure que l’histoire avance.  Il est un coureur de jupons et il a des avis très arrêtés sur l’amour et le sexe – où il aime sa femme Tereza, mais il a plusieurs partenaires sexuels et il ne croix pas qu’il s’agit d’un comportement contradictoire. Tereza n’a pas une objection contre le comportement de Thomas et elle pense que c’est sa propre faiblesse. Elle aussi ont les avis arrêtés et elle est photographe – qui prend beaucoup des photos contre le régime. Il y a aussi de personnage de Sabina – elle est une artiste et aussi la maîtresse de Tomas. Tereza, Tomas et Sabina sont les personnages principaux dans c’histoire.

Ce n’est pas souvent que je suis devenu intéressé totalement dans les premiers vingt pages, mais c’était un de ces livres. Peut-être une raison est que je n’avais pas beaucoup d’expectations quand j’ai commencé. Normalement, si je visite un pays, pour un souvenir, j’achète la version traduite en anglais d’un livre a écrit par un(e) écrivain(e) local(e). Quand j’étais à Bratislava, j’ai essayé de chercher un livre s’écrit par un(e) écrivain(e) slovaque mais je ne pouvais pas trouver et puis, je me suis contenté de ce livre écrit à l’origine en tchèque (d’un écrivain d’origine tchèque mais il préfère s’identifier comme français).

L’histoire a un personnage vraiment intéressant – Tomas ; beaucoup d’idées sont présenter qui sont révolutionnaires même à l’époque actuelle que c’était intéressant de lire. Le meilleur aspect de ce livre est que les personnages complexes construits par l’écrivain. L’histoire traité les autres sujets comme le mal du pays, où Tomas et Tereza s’installent en Suisse mais souhaitent rentrer à Prague malgré le régime. Etant quelqu’un qui aime la mythologie grecque, les allusions au mythe étaient un autre point culminant de ce livre (comme l’histoire de d’Œdipe).

Le livre mélange sujets variés comme politesse, romance, philosophie dans une proportion correcte. Mais, je n’aime pas quand l’écrivain remonté dans le temps si tard dans l’intrigue ; où, il y a un point où la sous-placette de Sabina va avant du temps et puis elle revient au passé (qui pour de grandes parties du roman est le présent du point de vue du lecteur). Il y avait aussi beaucoup de répétition – comme les avis de Tomas et Tereza en destin et la coïncidence et la référence répétée à la symphonie de Beethoven.

Le roman est une excellente lecture, à moins que le lecteur / la lectrice est une personne qui a les avis arrêtes sur ces sujets est à lire quelque chose au contraire leur dérangée. En place de écrire un livre non romanesque en philosophie, l’écrivain a réalisé une intrigue excellente avec les personnages complexes et un contexte politique tout en s’en tenant l’objectif général.

Je donne une note de huit sur dix.

La Note – 8/10

Bonne journée,
Andy

vendredi 26 avril 2019

Dublinois par James Joyce – commentaire






A noter : J’ai lu ce livre en anglais.

To read the review in English, please click here. 

Dublinois par l’écrivain irlandais James Joyce, est un classique en anglais. C’est un recueil de quinze nouvelles situé à Dublin en Irlande. Le livre couvre des histoires avec des thèmes comme le nationalisme irlandais, la division entre les gens catholiques et protestantes et les stéréotypes irlandais comme leurs indécisions. Le lecteur / La lectrice doit noter que ce livre a été publié en 1914, avant le lever de Pâques en Irlande. Peut-être, ces stéréotypes ne s’applique plus. 

Les histoires ont une variété des personnages les gens dans leur jeunesse, les commis, les hommes riches, les parents, etc. mais en arrive à la conclusion qu'ils ont tous des caractéristiques semblables. Les thèmes que l’écrivain couvre principalement sont comment leur indécision affecte leur vies, l’impact de religion dans leur vie, etc. L’écrivain a aussi décrive la ville de Dublin bien, comme la description de l'éditeur - « au cas où Dublin disparaîtrait sans laisser de trace, il pourrait être reconstruit dans son intégralité en lisant Dublinois par James Joyce ».

J’adore les histoires - « Après la course » et « La Grâce ». « Après la course » était une histoire à propos des amis qui viennent de pays différents et leurs personnages symbolisent leur pays. « La Grâce » est une histoire drôle à propos des amis qui essaient introduire le catholicisme dans la vie de leur compagnon ivrogne. L’écrivain a fait face à une réaction négative en Irlande à l'époque, car le nationalisme irlandais était considéré comme synonyme de catholicisme. 

L’écrivain utilisait beaucoup de mots qui sont uniques au dialecte irlandais d’anglais. Peut-être ce sera difficile pour un lecteur / une lectrice qui ne connais pas les mots dans ce dialecte. C’est vrai que l’éditeur nous donne un glossaire mais c’est ennuyeux si nous devons souvent tourner les pages vers le glossaire. Peut-être ce n’est ne pas un problème dans la traduction française de ce livre. 

Rétrospectivement, beaucoup d'histoires semblent bonnes après avoir lu les notes d'interprétation de l'éditeur, car le contexte de l'histoire est expliqué en détail. Je pense que je connais l’histoire de monde après la révolution industrielle bien, l’histoire d’Irlande et son indépendance inclus, mais j’avais un peu de difficulté quelquefois sans les notes d’interprétation. C’est possible que pour les lecteurs / lectrices, il y aura beaucoup de problèmes pour apprécier certaines des histoires s’ils ne connaissent pas l’histoire d’Irlande. 

Quelques histoires comme « Eveline », cependant c’était à propos de thème d’indécision de gens irlandais, c’était tellement court et je ne peux pas apprécier bien. Une histoire qui s’appelle « Le Mort » a plus de cinquante pages, proche de 20% de livre. Ainsi, la répartition était disproportionnée - beaucoup de histoires était trop courtes.

Les histoires comme « Deux galants » avait de grandes chances d'être un roman, mais ne pouvait pas être apprécié dans son intégralité comme une nouvelle. 

Je me sens que l’écrivain essayait répéter les mêmes thèmes dans quinze nouvelles différents et ça aurait pu être mieux s'il n'y avait qu'un seul roman basé à Dublin.

D'après l'analyse, je donne ce livre une note de quatre sur dix. 

La note - 4/10

Bonné journée
Andy

samedi 23 mars 2019

Les Cerfs-volants de Kaboul (The Kite Runner) par Khaled Hosseini – Commentaire









Le synopsis (de goodreads.com) :



« Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d'un riche commerçant pachtoun, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n'entament leur amitié. Jusqu'au jour où Amir commet la pire des lâchetés... »

Note : J’ai lu ce livre en anglais.

C’est un livre qu’a suggéré par mon ami il y a sept ans puisque j’ai une préférence « loin du courant dominant ». Aussi, l’intrigue est située en Afghanistan, un pays plupart du monde connaissent par les médias internationaux que par la population locale.

L’intrigue est à propos un écrivain américain à succès qui s’appelé Amir. Il veut oublier son passé et son enfance en Afghanistan. Amir a grandi avant l’invasion soviétique avec son père et son meilleur ami Hassan, le fils de l'aide domestique de son père, Ali (d'origine Hazara). Au contraire des pashtouns traditionnels, Amir était plus intéressé en écriture et narration d’histoires. Hassan aimait l’écouter les histoires d’Amir parce que il était illettré. Amir n’était pas encouragé par son père en son loisir mais par un associé de lui, Rahim Khan. 

L’évènement grand pour les enfants à Kaboul était le festival du cerf-volant - où l'un fait voler le cerf-volant et l'autre récupère un cerf-volant qui tombe (connu sous le nom de « Le Kite Runner ») prêtant son titre au livre en anglais.

Après l’invasion soviétique, Amir et son père ont déménagé aux États-Unis. Mais Amir a laissé un passé qu’il ne voulait pas de rappeler, jusqu’à un jour, quand il a reçu une lettre de Rahim Khan, qui lui demande de venir au Pakistan et de lui rendre visite.

C’est le deuxième livre je lisais des écrivains avec l’origines pashtouns (la précédente : Moi, Malala). Similaire que ce livre, l’intrigue de Les Cerfs-volants de Kaboul met en évidence l'évolution progressive de la société au fil du temps. Amir a grandi quand c’était paisible - son père ne rejette pas religion mais il a rejeté les fondamentalistes et crut que la plus grande menace pour la paix étaient les mollahs. D’abord, c’était normale qu'ils regardent des films en farsi ou en hindi, à Téhéran ou à Peshawar. Cependant, la situation a fini par changer avec le temps avec l'invasion soviétique, suivie de la prise de pouvoir par les talibans, et ce changement a été bien expliqué en détail.

La personnage d’Amir était intéressant aussi, puisqu’il n’était pas un protagoniste normal comme les super-héros. Il n’avait pas les capacités extraordinaires et son expertise en vol de cerf-volant était plus due à Hassan. Il n’affronte jamais ses problèmes. Ces traits font qu'il est difficile pour tout lecteur de développer une sympathie particulière pour Amir. Cependant, l'auteur a réussi à garder le lecteur / la lectrice engagé avec Amir jusqu'à la fin de l'histoire.

J’apprécie l’écrivain à emmener le lecteur / la lectrice en travers les temps différents, l'intrigue grandit avec Amir ; qui a grandi quand les fortunes d’Afghanistan s'effondraient. Si le lecteur / la lectrice ne vient pas d’Asie du sud, Les Cerfs-volants de Kaboul n’est pas juste une histoire extraordinaire mais aussi un voyage à travers l'histoire récente de l'Afghanistan.

L'intrigue avait toutefois ralenti lorsque Amir et son père ont déménagé aux Etats-Unis et le reste jusqu'à ce qu'on arrive au dernier tiers. Le dernier tiers qu'il était intéressant de voir les convictions d'Amir et ses souvenirs remis en question à chaque instant, certaines parties des séquences d'action était comme un roman d'Alistair MacLean - incroyable et parfois, sans logique.

Quelquefois, l’écrivain utilisait pachto pour un phrase totale (même s’il y avait la traduction par lui). Puisque je connais une langue très proche, c'était substantiellement intelligible mais cela aurait pu être difficile pour d'autres lecteurs, parfois même ennuyeux.

Pour conclure - j’attendais longtemps avant j’ai commencé lire ce roman. Malgré cela, je dirais que cela valait la peine d'attendre - c'était un paquet complet, l'histoire d'un garçon qui grandit, au milieu d'une crise, s'en sort et puis le passé revient pour vous récupérer.

Considérant cela, je donnerais au livre une note de neuf sur dix.



La Note - 9/10



Bonne journée,

Andy

dimanche 27 janvier 2019

Le Petit Prince par Antoine de Saint-Exupéry – commentaire







Le synopsis :

« Nous avons tous déjà été le prince héritier d’un royaume appelé enfance. Ce prince est ici le roi d’un troupeau d’un seul mouton. Que le Pilote s’est vu invite à dessiner, après un atterrissage forcé dans le désert du Sahara. De là, le Petit Prince et le Pilote volent de planète en planète et ils rencontrent sur chacune un homme seul qui devient ainsi un nouveau citoyen de ce royaume aussi imaginaire et utopique que nécessaire. »
La première fois j’ai entendu parlé d’Antoine de Saint-Exupéry était à mon bureau où il y avait une citation de lui sur le mur- « Quand tu veux construire un bateau, ne commence pas par rassembler du bois, couper des planches et distribuer du travail, mais réveille au sein des hommes le désir de la mer grande et large. » J’ai cherché en ligne pour apprendre plus à propos de sa personnalité et j’ai alors pris conscience de l’entendu de mon ignorance en apprenant que son livre « Le Petit Prince » était l’un des plus vendu et des plus célébrés en France. Puisque j’étais très intéressé par l’apprentissage du français, j’ai décidé que si je lirais, ce serai en français. 
Alors, l’histoire du « Le Petit Prince est très simple : un pilote s’est écrasé dans le désert du Sahara et il a de l’eau pour survivre seulement huit jours. Quand il était petit, il aimait dessiner mais il était découragé car les adultes trouvaient ses idées bizarres. Il a rencontré un petit prince qui vient d’une autre planète et le pilote a été étonné que Le Petit Prince pouvait connaitre les dessins de pilote correctement. Puis, le Petit Prince dit les histoires à propos ses voyages dans différentes planètes. Le Pilote peut-il survivre plus de huit jours ? Est-ce que Le Petit Prince peut trouver une solution pour le problème du pilote ? Ce sera l’intrigue du livre. 
Je sais que le livre n’est pas juste pour les enfants, l’écrivain aussi donne ses avis sur beaucoup de sujets à travers les histoires du personnage du Petit Prince. Le Petit Prince a rencontré diverses personnes comme un roi qui donne juste les commandes qui sont possible de suivre, un homme qui boit l’alcool pour oublier son honte à propos son problème de l’alcool, etc. si je dis plus, je gâcherais le livre. Mais, je peux dit qu’avec les thèmes subtils, l’écrivain a essayé de défier les idées du monde moderne en spécialisation, la vanité, la spéculation, etc. Je trouve ces thèmes très intéressant. 
La grammaire de l’écrivain est simple donc j’ai pu comprendre la plupart des mots sans utiliser de lexique. Je peux apprécier que l’écrivain a réussi à m’immerger dans l’histoire et à me faire croire à la réalité de la situation malgré certaines fantaisies et fictions par exemple lorsque l’on parle d’extraterrestre, de planète avec une seule personne vivante dessus, etc. 
Mais, je ne peux pas accepter les avis de l’écrivain à propos des adultes, et comme les autres personnes normales, je trouve que les dessins du personnage du pilote sont bizarres. La seule différence serait peut-être que je ne découragerais pas personnellement un enfant de poursuivre sa créativité. Son premier dessin, j’ai aussi pensé que c’était comme un chapeau et je ne pense pas que c’est un problème en moi. 
Pour conclure, c’est un bon livre, avec beaucoup d’idées dans un histoire courte et je trouve ça très intéressant. Je ne suis pas d’accord avec beaucoup des idées dans le livre mais c’est uniquement mon avis et pas tant un problème de rédaction ou d’histoire d’ailleurs, parfois, il est bon de lire du contenu en contradiction avec mon opinion personnelle. 
Considérant l’histoire, les idées, les personnages et l’écriture simple, je donne au livre une note de sept sur dix.  

La Note - 7/10

Bonne   journée,
Andy

samedi 2 juin 2018

Moi, Malala (I am Malala) par Malala Yousafzai - critique



Synopsis d’Amazon :

‘Quand les talibans prirent le contrôle de la vallée du Swat, au Pakistan, une toute jeune fille éleva la voix. Refusant l’ignorance à laquelle la condamnait le fanatisme, Malala Yousafzaï résolut de se battre pour continuer d’aller à l’école. Son courage faillit lui coûter la vie : en octobre 2012, à 15 ans, elle est grièvement blessée d’une balle dans la tête. Cet attentat censé la faire taire l’a au contraire confortée dans son engagement en faveur de l’éducation des filles dans son pays et, au-delà, des millions d’enfants non scolarisés de par le monde. Ce livre est le récit bouleversant d’une famille exilée à cause du terrorisme, de parents courageux qui, dans une société où les garçons sont rois, ont manifesté un amour immense à leur fille et l’ont encouragée à s’instruire, à écrire, à dénoncer l’insoutenable et à exiger, pour toutes et tous, l’accès au savoir.

… un symbole mondial de lutte contre l’extrémisme religieux. L’Humanité.’

L’incident a survenu le 12 octobre 2012 a choqué le monde. C’était un autre jour ordinaire pour la jeune bloggeuse et militante, Malala Yousafzai qui est retournée à l’école quand tout à coup ; son bus a arrêté par deux hommes. Ils ont demandé une question « Qui est-ce Malala ? ». Toute de suite, elle a été tirée à bout portant. Le tehreek-i-taliban de Pakistan a revendiqué la responsabilité pour l’attaque.

L’autobiographie qui a une Co-écrivaine avec Malala - le célèbre correspondant de guerre, Christina Lamb. Le livre couvre depuis sa naissance jusqu’à son traitement à Birmingham au Royaume Uni. J’aime la façon dont ça a commencé. Dans le prologue, il y a la description de tir par les talibans avec la fermeture solide pour la question de terroriste - « Je m’appelle Malala et c’est mon histoire ».

Le livre a eu une belle structure avec une démarcation temporelle et situationnelle claire. Souvent, dans l’autobiographie, cette un problème pour les lecteurs où il n’y a pas une structure claire. Mais, l’avantage que les écrivains avaient était qu’il y avait seulement quatorze ans pour couvrir. La première partie d’autobiographie a été sur sa vie dans la vallée de Swat au Pakistan avant l’entrée de taliban. Ça commence avec sa naissance, son père a commencé à célébrer ce qui était inhabituel parce que les Pashtouns est une communauté qui ne valorise que les fils. Son père a eu un rêve, pour ouvrir une école à Mingora, la plus grande ville de Swat. Mais, il n’était pas beaucoup d’argent et a commencé une petite école qui s’appelle « Khushal Public School » (nommé d’après le frère cadet de Malala). Le livre a d'abord décrit comment l'école s'est étendue pas à pas. Malala a pris l’inspiration à son père et développée des idéologies similaires - sur l’importance de l’éducation, l’adoration pour la poésie, art oratoire, la dévotion pour l’Islam et le désaccord avec l'interprétation du taliban de la même. Il y a concentrer suffit pour donner les lecteurs un aperçu de l’historien la vallée de Swat, l’histoire des Pashtuns, leur traditions et l’histoire de Pakistan. L’histoire de Pakistan peut-être pas de pertinent pour un lecteur comme moi parce que je viens du pays voisin mais très utile pour comprendre le livre pour les lecteurs à l’extérieur d’Asie du sud.

La deuxième phase était ma phase préférée où elle fait ressortir magnifiquement l’environnement changeant à Swat parce que de l’entrée de taliban. J’ai pensée souvent que pourquoi les gens locales soutiennent fortement le taliban : à Helmand au Afghanistan, à Waziristân du sud au Pakistan ou à la vallée de Swat au Pakistan. Malala donne la réponse dans ce livre quant à la façon dont les seigneurs de la guerre se présentent comme des gens pieux pour leur soutien. Après obtenir leur soutien, ils feront leur propre agenda. La transition sur la vallée de Swat a été très bien sorti quant à la façon les talibans ont commencé l’exploitation de la confiance que les gens ont sur les. Les activités normales ont été banni par le taliban comme aller à l’école, chanter, danser, les films, la télévision, écouter la musique, etc. L’effectivement, les gens ont deviennent prisonniers dans leur propre vallée.

La troisième et la quatrième phase est à propos du gens meilleur savent, c'est-à-dire, le tir et les conséquences. Peut-être, c’est la première fois que l’armée de Pakistan et le gouvernement de Pakistan ont le même but, que pour sauver Malala viens quoi.

Le seul aspect négatif que j’ai trouvé dans ce livre et le beaucoup d’implication de la Co-écrivaine - Christina Lamb. Pendant je pense qu’elle a fait un travail splendide en édition (bonne édition est quand le lecteur ne trouve pas qu’il y a le travail d’éditeur), mais, l’originalité a été perdu. Pendant je suis sûr que la co-écrivaine donne l’histoire et la situation politique de Pakistan. Ces sont contributions positif mais ce n’est pas de bon quand le lecteur trouve qui a écrit quoi. Par exemple, Malala, qui ne sais pas qu’où est Birmingham, fais une comparaison entre le rayon du tremblement de terre au Pakistan en 2005 et la taille d’état d’États-Unis, Connecticut. C’est certainement une addition par le Co-écrivaine. Je pense que le livre aurait été meilleur si l’implication de Co-écrivain a été moins.

J’admire Malala pour son courage - au contraire le croire qu’elle devient célébrée parce que le tir, elle avait fait campagne pour l’éducation des filles pour beaucoup de temps ce qui fait d'elle la cible des talibans. Cependant, malgré les menaces elle et son père continuer leur activisme. Fait intéressant, elle a rejeté son pseudonyme et viens à la télévision - un type de courage qui est difficile pour trouver. J’espère qu’elle continuer son campagne pour l’éducation pour tous les enfants dans notre monde même si elle est loin de la maison.

Je dis que c’est un livre excellent dans tous les critères, le contenu, l'information, la présentation de son expérience, sa langue (ou du Co-écrivaine - Malala parle anglais bien mais je ne sais pas son écriture). Le livre vaut l'argent. Je remercie l’éditeur pour cacher Cachemire dans le carte de Pakistan dans le prologue parce que, si l’éditeur prends quelqu’un position sur la démarcation, même si leur fais la juridiction actuelle, peut-être ce n’était pas de possible pour lire ce livre dans mon pays de résidence parce que le magazine du Royaume Uni, « The Economist » a été banni trente-et-un fois pour le même problème en 2009.

Pour ce livre, je donne la note de neuf sur dix. Lisez ce livre, s’il vous plait !

La note – 9 / 10

Bonne journée,
Andy