Résumé :
« Une si longue lettre est une œuvre majeure,
pour ce qu’elle dit de la condition des femmes. Au cœur de ce roman, la lettre
que l’une d’elle, Ramatoulaye, adresse à sa meilleure amie, pendant la
réclusion traditionnelle qui suit son veuvage.
Elle y évoque leurs souvenirs heureux d’étudiantes
impatientes de changes le monde, et cet espoir suscité par les Indépendances.
Mais elle rappelle aussi les mariages forcés, l’absence de droits des femmes.
Et tandis que sa belle-famille vient prestement reprendre les affaires du
défunt, Ramatoulaye évoque alors avec douleur le jour où son mari prit une
seconde épouse, plus jeune, ruinant vingt-cinq années de vie commune et
d’amour. »
Une si longue lettre est un classique de la littérature sénégalaise écrit
par Mariama Bâ, et aussi considéré comme une littérature féministe qui vient du
continent africain. Notre personnage principal est Ramatoulaye, qui est en
deuil à cause de décès de son mari avec qui elle ne vit plus. Elle s’exprime
avec sa meilleure amie Aissatou en écrivant une si longue lettre.
Ramatoulaye est déjà séparée de son mari, depuis qu’il a pris un autre
femme. Elle est dans un milieu très conservatrice au Sénégal, et la société ne
voie même pas pourquoi elle n’est pas contente avec la décision de son mari.
Même Aissatou, a divorcé son mari après qu’il a pris une deuxième femme – un pas
révolutionnaire à son époque.
Le personnage principal Ramatoulaye avait beaucoup de difficultés, vu qu’elle
s’est occupée de tous les enfants de son mariage. Il y a avait plus de 12,
chaqu’un.e avec différents besoins et également dans les différents stades de
sa vie. Elle exprime toutes ces difficultés bien, et avec sa lettre, on
comprend aussi quelque changements dans la société sénégalaise, comme avec ses filles
qui sont d’une génération « modernisée » (elles font des soirées avec
des garçons, alcool, fument, et portent les jeans, comme des occidentales).
Il y avait beaucoup de pression sur Ramatoulaye pour se remarier et elle a refusé.
Il faut prendre en compte que le roman a été écrit en 1979 et considéré comme
un roman classique du Sénégal et également, une de ses littérature féministe –
vue que les deux femmes principaux étaient puissant en défiant les normes
sociétales, Ramatoulaye et Aissatou.
Puisque je ne suis pas très habitué avec la culture sénégalaise, j’ai
trouvé qu’il y avait trop de personnages pour un livre de 176 pages. Déjà, ça m’a
pris quelques temps pour m’habituer avec l’environnement et les différents
personnages. Par exemple, les deux prénoms « Modou » et « Mawdo »
sont très similaires pour moi et il y a autant de personnages comme ça. Lorsque
les prénoms avec des similitudes est un problème avec moi, parce que c’est moi
qui ne connaît pas la culture du pays de l’autrice. Cependant, j’aurai le même
problème s’il y a plus de 15 personnages avec importance dans un livre de 176
pages.
Pour conclure, j’ai bien découvert un nouveau pays avec cette lecture, et
je suis content de voir qu’il y a les mouvements locaux comme ceux d’autrice,
pour méfier les normes traditionnels du pays. J’attribuerai une note de sept
sur dix.
La note – 7/10
Bonne journée
Andy
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