‘Après avoir perdu un procès
en diffamation, Mikael Blomkvist, brillant journaliste d'investigation,
démissionne de la revue Millénium et ressasse son dépit. Il est contacté par un
magnat de l'industrie qui lui confie une enquête vieille de quarante ans : sur
l'île abritant l'imposante propriété familiale, sa nièce, Harriet Vanger, a
naguère disparu, et il reste persuadé qu'elle a été assassinée. Si ce n'est pas
exactement le hasard qui réunit Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander, réchappée
des services sociaux et génie de l'informatique, c'est une vraie chance, car la
jeune femme va bien vite s'imposer comme le meilleur atout du journaliste pour
élucider l'affaire. L'intolérance, l'hypocrisie, la violence et le cynisme de
notre monde contemporain - aux niveaux politique, économique, social, familial
- sont les ressorts de ce polar addictif, au suspense insoutenable, qui a
enthousiasmé des millions de lecteurs.’
A noter : j’ai
lu ce livre en anglais, dans ce commentaire, je vais utiliser les noms et
orthographes anglais (par exemple, Hedeby en place de Hedebyön)
Les Hommes qui n’aiment pas les femmes est le premier livre du série Millénium
par Stieg Larsson. On dit toujours – « Ne
jugez jamais un livre d’après sa couverture », mais je suis coupable
de ça, pendant plusieurs ans. Dans les librairies, je voyais ce livre toujours
dans la catégorie « Meilleures
ventes internationales » et je pensais que c’est un autre roman dans
le genre de romance et je ne suis pas l’intéresse. Le titre en anglais, si
je traduis mot par mot est « La fille
avec le tatouage de dragon » et si l’éditeur anglais a pris la même
décision comme l’éditeur français (de traduire mot par mot le titre suédois),
peut-être que j’aurais lu ce livre bien avant. Cette perception aurait continué
si un collègue de moi ne me dire récemment que c’est un livre à lire
absolument.
L’intrigue a deux personnages principaux – Mikael Blomkvist, un journaliste
récemment rendu coupable pour diffamation contre un investisseur suédois de premier
plan et Lisbeth Salander, une jeune détective privée. La condamnation a forcé Blomkvist
de quitter le magazine il a fondu, mais à toute de suite, il a aussi reçu une
offre de Henrik Vanger, le vieux chairman de Vanger Corporation qui a 82 ans,
pour résoudre le meurtre de sa nièce Harriet il y a quarante ans dans une
situation décrire typique comme un meurtre dans une pièce fermée à clé, où le
meurtrier et la victime disparaissent sans laisser une trace. D’abord, Blomkvist n’était pas convaincu de déménager
sur une île isolée trois heures nord du Stockholm, mais il veut aussi un pause
d’évènements qui viens de passer à Stockholm et Vanger offre une rémunération
plus suffisant pour les dommages-intérêts qu’il doit payer pour diffamation.
Lisbeth Salander, de l’autre côté, travaille comme une détective privée pour
une société de services de sécurité. Elle n’avait pas une formation formelle
pour son travail mais s’avère extrêmement précise et détaillée dans son analyse.
La seule connexion entre Blomkvist et Salander pour un moitié d’intrigue est qu’elle
a fait une vérification des antécédents de Blomkvist pour un client de sa
société.
Le livre est très long, avec 560 pages mais je ne me sens pas comme ça car
l’intrigue, le rythme et le mode de narration. C’était un début ordonné,
commencé par la condamnation de Blomkvist, l’examen de Salander sur Blomkvist,
la nomination de Blomkvist par Vanger ; elle a lieu dans les cinquante
premières pages, l’intrigue se déplaçant sans discontinuité à partir de
celles-ci. Le caractère de Blomkvist était complètement révélé au début par l’enquête
de Salander, mais l’écrivain ne nous donner pas plusieurs détails dans le
profil de Salander. J’étais trop intéressé de savoir plusieurs détails sur elle
et ce contribué à l’effet tourner de page. Un autre personnage clé était Henrik
Vanger – le chairman de sa société et il a une obsession de découvrir ce qui
est arrivé à sa nièce. Il est suave et réalise ses objectifs sans agression. Il
n’a pas un avis positif sur sa famille, pendant la deuxième guerre mondiale, il
y avait des membres qui était associés avec les nazis et après la guerre aussi,
avec les néonazis, une autre raison d’antipathie d’Henrik envers son clan.
Contrairement des autres romans policiers, où il y a un meurtre et puis une
enquête, ici, c’est pour un examen d’un meurtre (croyaient par le police et
Henrik) qui passé il y a quarante ans – ce qui ajoute à la complexité de l’affaire.
Il y a plusieurs personnages et noms pour se souvenir et ce serait difficile
pour quelques lecteurs mais pas plus difficile si vous avez déjà une expérience
de lire une intrigue avec beaucoup de personnages. Je n’avais pas trouvé cela
difficile en raison de mon expérience ancienne avec les livres comme « The Luminaries » et « One Hundred Years of Solitude » (liens
en anglais, je vais les traduire plutôt en français). Ce livre ne pas un roman
fantastique, mais la ville de Hedestad et l’île de Hedeby au nord de Stockholm
sont fictives et les deux endroits ont été décrire en détail (avec une carte).
Bien que Lisbeth Salander est un personnage vraiment intéressant et j’ai pu
me connecter avec beaucoup de ses adjectifs comme introverti, socialement
distant, etc. il n’y avait pas détails suffisante sur la façon dont elle a
acquis ses compétences (j’espère que je peux trouver dans les suites). De plus,
elle accomplissait ses tâches plus facilement et ça me donne une impression d’elle
comme un superhéros. C’est vrai qu'elle a traversé beaucoup de difficultés dans
sa vie et qu'il lui a fallu des efforts pour atteindre ce stade ; mais au cours
de l'affaire, elle a atteint ses fins avec une relative facilitée.
Le Salander-Blomkvist combinaison était bien contrasté – Salander concentre
sur les fins et pas les moyens mais Blomkvist prend beaucoup de décisions pour
les principaux, même si ce lui donne un désavantage. L’élucidation de mystère était
la meilleure partie de le roman – les personnages multiples ils interagissent.
Cela dit, le dernier quart était long et je me suis sensé qu’il n’y avait pas
beaucoup de relation avec l’intrigue principale.
Je juge les livres d’après leur couverture et j’ai souvent choisi des
livres sur cette base. Parfois ça marche bien, parfois non, mais c’est un cas
où j’ai manqué un bon livre par cette approche. J’adore les histoires
policières de cette région et j’ai déjà profiter les livres de Karin Fossum et
aussi suivi les séries télévisées comme Broen et Forbrydelsen (séries danoises,
liens en anglais, je vais traduire les commentaires en français plutôt). C'est
juste que dans ce cas-ci, je ne savais pas que c'était un roman policier et à
en juger par tout ce que j'ai eu à dire sur ce livre jusqu'à présent, je
noterais ce livre un huit sur dix.
La note – 8/10
Bonne journée,
Andy
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