samedi 2 juin 2018

Moi, Malala (I am Malala) par Malala Yousafzai - critique



Synopsis d’Amazon :

‘Quand les talibans prirent le contrôle de la vallée du Swat, au Pakistan, une toute jeune fille éleva la voix. Refusant l’ignorance à laquelle la condamnait le fanatisme, Malala Yousafzaï résolut de se battre pour continuer d’aller à l’école. Son courage faillit lui coûter la vie : en octobre 2012, à 15 ans, elle est grièvement blessée d’une balle dans la tête. Cet attentat censé la faire taire l’a au contraire confortée dans son engagement en faveur de l’éducation des filles dans son pays et, au-delà, des millions d’enfants non scolarisés de par le monde. Ce livre est le récit bouleversant d’une famille exilée à cause du terrorisme, de parents courageux qui, dans une société où les garçons sont rois, ont manifesté un amour immense à leur fille et l’ont encouragée à s’instruire, à écrire, à dénoncer l’insoutenable et à exiger, pour toutes et tous, l’accès au savoir.

… un symbole mondial de lutte contre l’extrémisme religieux. L’Humanité.’

L’incident a survenu le 12 octobre 2012 a choqué le monde. C’était un autre jour ordinaire pour la jeune bloggeuse et militante, Malala Yousafzai qui est retournée à l’école quand tout à coup ; son bus a arrêté par deux hommes. Ils ont demandé une question « Qui est-ce Malala ? ». Toute de suite, elle a été tirée à bout portant. Le tehreek-i-taliban de Pakistan a revendiqué la responsabilité pour l’attaque.

L’autobiographie qui a une Co-écrivaine avec Malala - le célèbre correspondant de guerre, Christina Lamb. Le livre couvre depuis sa naissance jusqu’à son traitement à Birmingham au Royaume Uni. J’aime la façon dont ça a commencé. Dans le prologue, il y a la description de tir par les talibans avec la fermeture solide pour la question de terroriste - « Je m’appelle Malala et c’est mon histoire ».

Le livre a eu une belle structure avec une démarcation temporelle et situationnelle claire. Souvent, dans l’autobiographie, cette un problème pour les lecteurs où il n’y a pas une structure claire. Mais, l’avantage que les écrivains avaient était qu’il y avait seulement quatorze ans pour couvrir. La première partie d’autobiographie a été sur sa vie dans la vallée de Swat au Pakistan avant l’entrée de taliban. Ça commence avec sa naissance, son père a commencé à célébrer ce qui était inhabituel parce que les Pashtouns est une communauté qui ne valorise que les fils. Son père a eu un rêve, pour ouvrir une école à Mingora, la plus grande ville de Swat. Mais, il n’était pas beaucoup d’argent et a commencé une petite école qui s’appelle « Khushal Public School » (nommé d’après le frère cadet de Malala). Le livre a d'abord décrit comment l'école s'est étendue pas à pas. Malala a pris l’inspiration à son père et développée des idéologies similaires - sur l’importance de l’éducation, l’adoration pour la poésie, art oratoire, la dévotion pour l’Islam et le désaccord avec l'interprétation du taliban de la même. Il y a concentrer suffit pour donner les lecteurs un aperçu de l’historien la vallée de Swat, l’histoire des Pashtuns, leur traditions et l’histoire de Pakistan. L’histoire de Pakistan peut-être pas de pertinent pour un lecteur comme moi parce que je viens du pays voisin mais très utile pour comprendre le livre pour les lecteurs à l’extérieur d’Asie du sud.

La deuxième phase était ma phase préférée où elle fait ressortir magnifiquement l’environnement changeant à Swat parce que de l’entrée de taliban. J’ai pensée souvent que pourquoi les gens locales soutiennent fortement le taliban : à Helmand au Afghanistan, à Waziristân du sud au Pakistan ou à la vallée de Swat au Pakistan. Malala donne la réponse dans ce livre quant à la façon dont les seigneurs de la guerre se présentent comme des gens pieux pour leur soutien. Après obtenir leur soutien, ils feront leur propre agenda. La transition sur la vallée de Swat a été très bien sorti quant à la façon les talibans ont commencé l’exploitation de la confiance que les gens ont sur les. Les activités normales ont été banni par le taliban comme aller à l’école, chanter, danser, les films, la télévision, écouter la musique, etc. L’effectivement, les gens ont deviennent prisonniers dans leur propre vallée.

La troisième et la quatrième phase est à propos du gens meilleur savent, c'est-à-dire, le tir et les conséquences. Peut-être, c’est la première fois que l’armée de Pakistan et le gouvernement de Pakistan ont le même but, que pour sauver Malala viens quoi.

Le seul aspect négatif que j’ai trouvé dans ce livre et le beaucoup d’implication de la Co-écrivaine - Christina Lamb. Pendant je pense qu’elle a fait un travail splendide en édition (bonne édition est quand le lecteur ne trouve pas qu’il y a le travail d’éditeur), mais, l’originalité a été perdu. Pendant je suis sûr que la co-écrivaine donne l’histoire et la situation politique de Pakistan. Ces sont contributions positif mais ce n’est pas de bon quand le lecteur trouve qui a écrit quoi. Par exemple, Malala, qui ne sais pas qu’où est Birmingham, fais une comparaison entre le rayon du tremblement de terre au Pakistan en 2005 et la taille d’état d’États-Unis, Connecticut. C’est certainement une addition par le Co-écrivaine. Je pense que le livre aurait été meilleur si l’implication de Co-écrivain a été moins.

J’admire Malala pour son courage - au contraire le croire qu’elle devient célébrée parce que le tir, elle avait fait campagne pour l’éducation des filles pour beaucoup de temps ce qui fait d'elle la cible des talibans. Cependant, malgré les menaces elle et son père continuer leur activisme. Fait intéressant, elle a rejeté son pseudonyme et viens à la télévision - un type de courage qui est difficile pour trouver. J’espère qu’elle continuer son campagne pour l’éducation pour tous les enfants dans notre monde même si elle est loin de la maison.

Je dis que c’est un livre excellent dans tous les critères, le contenu, l'information, la présentation de son expérience, sa langue (ou du Co-écrivaine - Malala parle anglais bien mais je ne sais pas son écriture). Le livre vaut l'argent. Je remercie l’éditeur pour cacher Cachemire dans le carte de Pakistan dans le prologue parce que, si l’éditeur prends quelqu’un position sur la démarcation, même si leur fais la juridiction actuelle, peut-être ce n’était pas de possible pour lire ce livre dans mon pays de résidence parce que le magazine du Royaume Uni, « The Economist » a été banni trente-et-un fois pour le même problème en 2009.

Pour ce livre, je donne la note de neuf sur dix. Lisez ce livre, s’il vous plait !

La note – 9 / 10

Bonne journée,
Andy