samedi 30 novembre 2019

Le maître du haut château par Philip K. Dick – commentaire





Résumé (traduit de l’anglais) :

« Etats-Unis, quinze ans après la fin de la deuxième guerre mondiale. Le force gagnante, l’Axe ont divisé leur butin : les nazis contrôlent New York, alors que la Californie est gouvernée par des japonais. Mais entre les deux pays, enfermé dans une guerre froide, se trouve une zone tampon de neutrons dans laquelle le légendaire auteur Hawthorne Abendsen vivrait, selon la rumeur. Abensen vit dans la peur de sa vie car il a écrit un livre dans lequel les Alliés ont gagné la deuxième guerre mondiale… »

Attention : J’ai regardé les quatre saisons de l’émission d’Amazon Prime basé sur le livre. Cependant, il n’y aurait pas aucunes comparaisons entre l’émission et le livre et les références, le cas échéant, ne seraient pas faites à moins qu’elles ne soient inévitables.

Note : J’ai lu ce livre en anglais

C’est une pensée effrayante – et si les fascistes ont gagné la deuxième guerre mondiale ? Ce roman de Philip K. Dick explore la question dans un scénario hypothétique où l’Axe ont gagné et ils ont divisé le monde entre les allemands qui sont avancés technologiquement et l’empire du Japon qui se concentre plus sur la spiritualité.

Ce roman a cinq personnages principales – Robert Childan, un vendeur d’artefacts américain à San Francisco, dans les Etats du Pacifique (état vassal du Japon), Frank Frink – un artisan à San Francisco, Juliana Frink – sa ex-femme qui vit actuellement dans la zone neutre du Colorado et travaille comme professeur de judo ; et Nobusuke Tagomi, un haut fonctionnaire japonais à San Francisco. Le chancelier de l’Allemagne, Martin Bormann est malade, ce qui déclenche une bataille de succession au sein du parti nazi, qui pourrait déterminer l’avenir du Japon et le monde en général. A l’arrière-plan, il y a un livre célèbre - La poids de la sauterelle – qui explore un scénario hypothétique où l’Alliés ont gagné la deuxième guerre mondiale, qui intéresse les personnages du sous-intrigue de Childan et Juliana.

J'ai aimé la toile enchevêtrée que l'auteur a tissée, en écrivant un roman qui présente une histoire alternative dans laquelle il y a un roman dans cette intrigue qui présente une histoire alternative dans le monde de l'auteur qui est en fait le monde réel du lecteur. Un autre aspect intéressant est la manière dans laquelle l’écrivain avait décrit la réaction du peuple de la régime fasciste – où il n’y a pas un mouvement de la résistance significatif et où les gens semblent acceptés (ou ceux qui ne l’ont pas fait ont probablement été éliminés déjà par le régime pendant les quinze ans). Le seul personnage intéressant dans ce livre était Childan, qui est un américain fier et il a des avis mauvais sur les noirs, les japonais, même si c’est un peu paradoxal où il y a souvent des situations où il ne peut s’empêcher d’admirer les japonais.

Cela dit, c’est un roman avec quatre intrigues différents tissés en un seul, où il n’y a pas une connexion forte entre les sous-intrigues de chaque personnage. Bien que l’écrivain soit connu pour son travail de science-fiction, cela semblait plus un roman fantastique, avec les personnages qui comptent sur l’oracle chinois – « I ching » - plus que tout progrès technologique. J’ai réalisé après j’ai lu 70 % du livre qu’il n’y avait pas une intrigue, et chaque personnage principal a eu un but différent. J’ai aimé les discussions entre Juliana et son copain italien, Joe Cinnadella – un ancien soldat qui a combattu en Afrique du nord. Je trouve qu’un italien avec un surnom « Joe » et un peu bizarre, bien sûr, il est aux Etats-Unis mais je suis sûr que dans un monde ou les deux pays anglophones ont perdu la guerre, angliciser les noms n’aurait pas été à la mode. Normalement, les noms de personnages de m’en fiche mais si l’intrigue n’est pas bonne, chaque défaut, même si c’est mineur me dérange. En fait, le roman La poids de la sauterelle dedans l’intrigue ne même pas ressemble le monde actuel pendant l’époque sur laquelle l’écrivain prétend fonder cette intrigue.

L’histoire aurait pu être intéressant si l’écrivain a concentré dans une intrigue, en place de quatre sous-intrigue avec aucune connexion de conséquence. Ma déception peut aussi être due au fait que j'ai apprécié la série et que mes attentes à l'égard du livre étaient plutôt élevées.

Pour empirer les choses, l'avant-propos d'Eric Brown dans mon édition Kindle (version anglaise) contenait même des spoilers pour le livre et donc, si vous prévoyez de lire le livre, évitez l'avant-propos.

A conclure, on ne doit pas juger un roman par son film (j’ai beaucoup de signets avec des citations similaires). Cependant, c’est la première fois je suis tombé sur une situation inverse où, j’adore l’émission d’Amazon Prime mais pas le livre. Au les personnes qui ont regardé l’émission mais n’ai pas lu le roman, vous n’avez pas rater quelque chose spécial. Je donne ce livre une note de deux sur dix.

La note – 2 / 10

Bonne journée,
Andy

dimanche 24 novembre 2019

L’étranger par Albert Camus – commentaire




Résumé :

« Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s’est ouverte, c’est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j’ai eue lorsque j’ai constaté que le jeune journaliste avant détourné les yeux. Je n’ai pas regardé du côté de Marie. Je n’en ai pas eu le temps parce que le président m’a dit dans une forme bizarre que j’aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français… »

J’ai appris que L’étranger par Albert Camus c’est un classique en français du propriétaire de la librairie d’où j’ai acheté ce livre. Malheureusement, je n’ai jamais entendu de parler le nom du romain ou l’écrivain mais je trouve que c’est dans un sujet et personnage intéressant.

Notre société a beaucoup des règles non écrites et plusieurs fois, ce serai un problème pour quelqu’un qui ne les suis pas. L’intrigue de L’étranger est à propos de personnage de Meursault, une personne qui est différente du reste de la société. Il n’a pas interrompu sa vie normale jusqu’au jour où il a dû faire face de loi.

L’histoire commence avec la morte de sa mère, qui était dans une asile. Mais ce qui l’inquiétait le plus, c’était ce que qu’est-ce que les gens pensent s’il fume devant le cadavre de sa mère. Il recommence sa vie normale toute de suite, avec son travail, sa nouvelle copine, etc. Il a accepté d’être un témoin contre la copine arabique de son voisin Raymond, à la suite d’une discorde. Les évènements qui ont suivi, Meursault finit par commettre un meurtre et les problèmes avec son attitude d’indifférence commence quand il est devant le juge.

L’écrivain a créé un personnage intéressant, Meursault est presque comme un anti héro avec qui le lecteur / la lectrice n’a pas beaucoup de sympathie. Même s’il n’est pas comme les autres personnes de la société (par exemple, il n’a pas pleuré la morte de sa mère), est-ce que c’est une bonne raison pour ses problèmes que quelquefois, les gens pensent que son attitude est un problème encore plus grave que le meurtre il a commis. L’écrivain m’a fait réfléchir, bien sûr, je trouve l’attitude de Meursault bizarre mais à mon avis, c’est n’est pas une raison d’être condamne – et c’était intéressant que le sympathie le personnage a perdu au début du roman, il a récupéré au milieu.

J’adore la manière lesquels comment Meursault à se détacher dans chaque situation et ce qui s’aider en fait était son indifférence avec les gens et le monde. Il restait complexe autant qu'indifférent, il n'était pas non plus quelqu'un que l'on pourrait qualifier de misanthrope. C’était raconté bien par l’écrivain. Meursault était un personnage bien créé, mais, je trouve aussi qu’il était le seul personnage dans ce livre et aucun autre personnage n’avait la profondeur.

L’intrigue se passe en Algérie, avant son indépendance et même si les arabiques sont importantes dans cette intrigue, malheureusement, je n’aime pas la façon dont l’écrivain a déshumanisé les arabiques – aucune de personnages ont un nom, il n’y a pas aucun de témoins arabique (et je trouve ça bizarre). Peut-être, ce n’était pas l’intention de l’écrivain et la deuxième partie de ce roman était raconté par Meursault ; et l'on pourrait interpréter que l'auteur montrait la division entre les Arabes d'Algérie et les colons français mais j'ai du mal à donner le bénéfice du doute à l'écrivain en ce cas. Je comprends qu’il y a un roman écrit par Kamel Daoud – « Meursault, contre-enquête » où l’écrivain a essayé donner un personnage aux arabiques dans l’intrigue et raconte à nouveau la même intrigue de L’étranger – maintenant je suis très intéressé par ce livre. Aussi, même ce se passe à Alger, il n’aurait pas beaucoup de différence si c’était Alger où quelque autre ville dans le monde puisque l’écrivain n’a utilisé jamais les facettes propres de la ville.

A conclure, c’est un roman profond et intéressant – je suis sûr que les personnes avec un bon niveau de français (pas comme le français pidgin que j’ai rassemblé) apprécieraient la façon dont Meursault fait valoir ses avis et la façon dont il les raconte. Je donnerai ce roman une note de sept sur dix.

La note – 7 / 10

Bonne journée,
Andy

dimanche 10 novembre 2019

Sapiens : Une brève histoire de l’humanité par Yuval Noah Harari




Synopsis (d’Amazon) :

« L’homo Sapiens sera la vedette de la rentrée littéraire puisqu’il s’est imposé par sa capacité à fictionner, donc à créer des récits mythologiques, des dieux, des lois, du réseau...

Il y a 100 000 ans, la Terre était habitée par au moins six espèces différentes d’hominidés. Une seule a survécu. Nous, les Homo Sapiens.

Comment notre espèce a-t-elle réussi à dominer la planète ? Pourquoi nos ancêtres ont-ils uni leurs forces pour créer villes et royaumes ? Comment en sommes-nous arrivés à créer les concepts de religion, de nation, de droits de l’homme ? À dépendre de l’argent, des livres et des lois ? À devenir esclaves de la bureaucratie, des horaires, de la consommation de masse ? Et à quoi ressemblera notre monde dans le millénaire à venir ? »

A noter : j’ai lu ce livre en anglais

D’après les documents j’ai lus comme celle du microbiologiste Richard Dawkins, je comprends que notre espèce a environ de 200 000 ans. Cependant, nous n’avons pas trop d’informations au-delà 10 000 ans de nos existences (10 000 ans est une estimation généreuse). Dans ce livre, Yuval Noah Harari nous explique l’histoire de notre espèce – depuis l’époque homo sapiens ont coexisté avec d’autres espèces humaines jusqu’à l’époque d’aujourd’hui.

Le livre a quatre parties – la révolution cognitive, la révolution agricole, l’unification de l’humanité, la révolution scientifique et une conclusion avec les perspectives d’avenir de l’auteur (je ne suis pas sûr si ces sont les mêmes titres en français mais bien sûr, l’idée serai la même). A travers ces parties, l’écrivain élucide comment notre espèce a évolué, comment on a commencé de coopérer entre nous, comment nous nous adapter aux les conditions différentes sans un changement signifiant de structure de notre ADN. L’écrivain conteste plusieurs points de vues traditionnelles – comme « l’agriculture est la plus grande invention de l’humanité », comment les mythes sont essentiels à la suivre de la société d’aujourd’hui (par exemple, nous croyons qu’un morceau de papier imprimé par une autorité a une valeur, si les gens ne croient plus dans le mythe, la société de la journée va écrouler), et notamment.

Ce livre discute un topique scientifique mais l’écrivain n’a pas utilisé les mots techniques. J’ai pris juste une semaine à lire ce livre (la majorité de ma lecture était pendant mes trajets entre chez moi et mon bureau et réciproquement). C’est un record personnel pour moi de finir un livre non-fiction proche de 500 pages au moins du temps. J’ai aimé que le livre a tient la séquence chronologique et plusieurs fois – que vous soyez un conservateur ou libéral, religieux ou athée, la validité de vos convictions bien ancrées serait fortement contestée par l’écrivain. J’ai trouvé c’intéresse que j’étais choqué par quelque arguments de l’écrivain mais si je réfléchis profondément, j’étais d’accord avec ses arguments même si j’ai conclu que ces inventions sont nécessaires (comme monnaie, les lois, etc.). Je paraphraserais un exemple qui remet en question certaines de mes fortes convictions en matière d'égalité et de droits de la personne :

« Les défenseurs de la qualité et des droits de l’homme peuvent être outrés par ce raisonnement. Leur réponse sera probablement « nous savons que les gens ne sont pas égaux par biologie ! Mais si nous croyons que nous sommes égaux par essence, cela nous permettra de créer une société stable et prospère. » Je n’ai pas un argument contre cela. C’est exactement ce que j’entends par « ordre imaginaire ». Nous croyons dans un ordre particulier pas parce qu’il est vrai, mais parce que croire afin de nous permettre de coopérer efficacement et de forger une société meilleure. »

-          Page 123 dans l’édition anglaise  

Cela étant dit, il y avait des arguments de l’écrivain qui sont superficielles. Il soutient que beaucoup de nos principales aujourd’hui – comme l’égalité, respecter la liberté individuelle sont une version remaniée des conventions monothéistes (que tous sont égaux devant le dieu) (page 258 dans l’édition anglaise) ; c’est une conclusion extrême à tirer. C’est l’idée que deux individuelles ne peuvent pas arriver dans la même idée indépendamment ; et ça contredit l’une découvertes de l’écrivain dans ce livre – où il a expliqué comment les communautés différentes ont développé une société agricole similaire sans contact jamais avec eux. Pour un exemple sur moi-même, même si je tiens les avis forts dans les topiques comme la liberté individuelle, égalité, je suis athée et n'a été ni élevé ni associé à aucune religion monothéiste.

Les autres points saillants dans ce livre sont comment l’écrivain établir les différences entre les humaines et l’autre animaux – spécialement depuis la révolution cognitive. Il démontre également que nos ancêtres étaient en paix avec la nature pour être un mythe et en fait, ce que nous avons aujourd’hui est l’un des meilleurs moments de l’histoire de l’humanité (au contraire des arguments de « bon vieux temps de nos ancêtres »). C’est mon avis aussi depuis longtemps mais c’est bien que maintenant j’ai plusieurs arguments pour ce soutien grâce à ce livre.

Je ne peux pas commenter les aspects techniques et d‘après ce que j’ai compris, la plupart des académiciens n’ont pas un avis très positif sur le livre, mais comme toujours, si vous pouvez satisfaire les académiciens ou la public générale, mais impossible à satisfaire tous à la fois. Sur cette note, je donnerais ce livre une note de huit sur dix. C’est un livre qui vous fera réfléchir, et c’est peut-être le plus grand succès dans la manière de narration de l’écrivain.

La note – 8 / 10

Bonne journée
Andy

samedi 7 septembre 2019

Les Hommes qui n’aiment pas les femmes par Stieg Larsson – commentaire



Résumé (de amazon.fr) :


‘Après avoir perdu un procès en diffamation, Mikael Blomkvist, brillant journaliste d'investigation, démissionne de la revue Millénium et ressasse son dépit. Il est contacté par un magnat de l'industrie qui lui confie une enquête vieille de quarante ans : sur l'île abritant l'imposante propriété familiale, sa nièce, Harriet Vanger, a naguère disparu, et il reste persuadé qu'elle a été assassinée. Si ce n'est pas exactement le hasard qui réunit Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander, réchappée des services sociaux et génie de l'informatique, c'est une vraie chance, car la jeune femme va bien vite s'imposer comme le meilleur atout du journaliste pour élucider l'affaire. L'intolérance, l'hypocrisie, la violence et le cynisme de notre monde contemporain - aux niveaux politique, économique, social, familial - sont les ressorts de ce polar addictif, au suspense insoutenable, qui a enthousiasmé des millions de lecteurs.’




A noter : j’ai lu ce livre en anglais, dans ce commentaire, je vais utiliser les noms et orthographes anglais (par exemple, Hedeby en place de Hedebyön)


Les Hommes qui n’aiment pas les femmes est le premier livre du série Millénium par Stieg Larsson. On dit toujours – « Ne jugez jamais un livre d’après sa couverture », mais je suis coupable de ça, pendant plusieurs ans. Dans les librairies, je voyais ce livre toujours dans la catégorie « Meilleures ventes internationales » et je pensais que c’est un autre roman dans le genre de romance et je ne suis pas l’intéresse. Le titre en anglais, si je traduis mot par mot est « La fille avec le tatouage de dragon » et si l’éditeur anglais a pris la même décision comme l’éditeur français (de traduire mot par mot le titre suédois), peut-être que j’aurais lu ce livre bien avant. Cette perception aurait continué si un collègue de moi ne me dire récemment que c’est un livre à lire absolument.


L’intrigue a deux personnages principaux – Mikael Blomkvist, un journaliste récemment rendu coupable pour diffamation contre un investisseur suédois de premier plan et Lisbeth Salander, une jeune détective privée. La condamnation a forcé Blomkvist de quitter le magazine il a fondu, mais à toute de suite, il a aussi reçu une offre de Henrik Vanger, le vieux chairman de Vanger Corporation qui a 82 ans, pour résoudre le meurtre de sa nièce Harriet il y a quarante ans dans une situation décrire typique comme un meurtre dans une pièce fermée à clé, où le meurtrier et la victime disparaissent sans laisser une trace.  D’abord, Blomkvist n’était pas convaincu de déménager sur une île isolée trois heures nord du Stockholm, mais il veut aussi un pause d’évènements qui viens de passer à Stockholm et Vanger offre une rémunération plus suffisant pour les dommages-intérêts qu’il doit payer pour diffamation. Lisbeth Salander, de l’autre côté, travaille comme une détective privée pour une société de services de sécurité. Elle n’avait pas une formation formelle pour son travail mais s’avère extrêmement précise et détaillée dans son analyse. La seule connexion entre Blomkvist et Salander pour un moitié d’intrigue est qu’elle a fait une vérification des antécédents de Blomkvist pour un client de sa société.


Le livre est très long, avec 560 pages mais je ne me sens pas comme ça car l’intrigue, le rythme et le mode de narration. C’était un début ordonné, commencé par la condamnation de Blomkvist, l’examen de Salander sur Blomkvist, la nomination de Blomkvist par Vanger ; elle a lieu dans les cinquante premières pages, l’intrigue se déplaçant sans discontinuité à partir de celles-ci. Le caractère de Blomkvist était complètement révélé au début par l’enquête de Salander, mais l’écrivain ne nous donner pas plusieurs détails dans le profil de Salander. J’étais trop intéressé de savoir plusieurs détails sur elle et ce contribué à l’effet tourner de page. Un autre personnage clé était Henrik Vanger – le chairman de sa société et il a une obsession de découvrir ce qui est arrivé à sa nièce. Il est suave et réalise ses objectifs sans agression. Il n’a pas un avis positif sur sa famille, pendant la deuxième guerre mondiale, il y avait des membres qui était associés avec les nazis et après la guerre aussi, avec les néonazis, une autre raison d’antipathie d’Henrik envers son clan.


Contrairement des autres romans policiers, où il y a un meurtre et puis une enquête, ici, c’est pour un examen d’un meurtre (croyaient par le police et Henrik) qui passé il y a quarante ans – ce qui ajoute à la complexité de l’affaire. Il y a plusieurs personnages et noms pour se souvenir et ce serait difficile pour quelques lecteurs mais pas plus difficile si vous avez déjà une expérience de lire une intrigue avec beaucoup de personnages. Je n’avais pas trouvé cela difficile en raison de mon expérience ancienne avec les livres comme « The Luminaries » et « One Hundred Years of Solitude » (liens en anglais, je vais les traduire plutôt en français). Ce livre ne pas un roman fantastique, mais la ville de Hedestad et l’île de Hedeby au nord de Stockholm sont fictives et les deux endroits ont été décrire en détail (avec une carte).


Bien que Lisbeth Salander est un personnage vraiment intéressant et j’ai pu me connecter avec beaucoup de ses adjectifs comme introverti, socialement distant, etc. il n’y avait pas détails suffisante sur la façon dont elle a acquis ses compétences (j’espère que je peux trouver dans les suites). De plus, elle accomplissait ses tâches plus facilement et ça me donne une impression d’elle comme un superhéros. C’est vrai qu'elle a traversé beaucoup de difficultés dans sa vie et qu'il lui a fallu des efforts pour atteindre ce stade ; mais au cours de l'affaire, elle a atteint ses fins avec une relative facilitée.  


Le Salander-Blomkvist combinaison était bien contrasté – Salander concentre sur les fins et pas les moyens mais Blomkvist prend beaucoup de décisions pour les principaux, même si ce lui donne un désavantage. L’élucidation de mystère était la meilleure partie de le roman – les personnages multiples ils interagissent. Cela dit, le dernier quart était long et je me suis sensé qu’il n’y avait pas beaucoup de relation avec l’intrigue principale. 


Je juge les livres d’après leur couverture et j’ai souvent choisi des livres sur cette base. Parfois ça marche bien, parfois non, mais c’est un cas où j’ai manqué un bon livre par cette approche. J’adore les histoires policières de cette région et j’ai déjà profiter les livres de Karin Fossum et aussi suivi les séries télévisées comme Broen et Forbrydelsen (séries danoises, liens en anglais, je vais traduire les commentaires en français plutôt). C'est juste que dans ce cas-ci, je ne savais pas que c'était un roman policier et à en juger par tout ce que j'ai eu à dire sur ce livre jusqu'à présent, je noterais ce livre un huit sur dix.


La note – 8/10


Bonne journée,
Andy

mardi 30 juillet 2019

L'Insoutenable Légèreté de l'être par Milan Kundera – Commentaire




A noter : J’ai lu ce roman en anglais

L'Insoutenable Légèreté de l'être est un roman par l’écrivain Milan Kundera. Il comporte les idées de philosophies différentes comme la connexion entre la personne et son corps, mots mal compris, relations humaines et des infidélités avec une touche de politesse. L’aspect politique devient plus intéressant puisque c’était basé pendant l’invasion de la Tchécoslovaquie par l’Union soviétique.

L’intrigue est basée sur deux couples pendant l’époque soviétique en Tchécoslovaquie – et trois des personnages principaux impliqués sont tchèques. L’histoire met en scène Tomas, un homme marié qui, a mon avis, se situe entre le milieu de la trentaine et le début de la cinquantaine à mesure que l’histoire avance.  Il est un coureur de jupons et il a des avis très arrêtés sur l’amour et le sexe – où il aime sa femme Tereza, mais il a plusieurs partenaires sexuels et il ne croix pas qu’il s’agit d’un comportement contradictoire. Tereza n’a pas une objection contre le comportement de Thomas et elle pense que c’est sa propre faiblesse. Elle aussi ont les avis arrêtés et elle est photographe – qui prend beaucoup des photos contre le régime. Il y a aussi de personnage de Sabina – elle est une artiste et aussi la maîtresse de Tomas. Tereza, Tomas et Sabina sont les personnages principaux dans c’histoire.

Ce n’est pas souvent que je suis devenu intéressé totalement dans les premiers vingt pages, mais c’était un de ces livres. Peut-être une raison est que je n’avais pas beaucoup d’expectations quand j’ai commencé. Normalement, si je visite un pays, pour un souvenir, j’achète la version traduite en anglais d’un livre a écrit par un(e) écrivain(e) local(e). Quand j’étais à Bratislava, j’ai essayé de chercher un livre s’écrit par un(e) écrivain(e) slovaque mais je ne pouvais pas trouver et puis, je me suis contenté de ce livre écrit à l’origine en tchèque (d’un écrivain d’origine tchèque mais il préfère s’identifier comme français).

L’histoire a un personnage vraiment intéressant – Tomas ; beaucoup d’idées sont présenter qui sont révolutionnaires même à l’époque actuelle que c’était intéressant de lire. Le meilleur aspect de ce livre est que les personnages complexes construits par l’écrivain. L’histoire traité les autres sujets comme le mal du pays, où Tomas et Tereza s’installent en Suisse mais souhaitent rentrer à Prague malgré le régime. Etant quelqu’un qui aime la mythologie grecque, les allusions au mythe étaient un autre point culminant de ce livre (comme l’histoire de d’Œdipe).

Le livre mélange sujets variés comme politesse, romance, philosophie dans une proportion correcte. Mais, je n’aime pas quand l’écrivain remonté dans le temps si tard dans l’intrigue ; où, il y a un point où la sous-placette de Sabina va avant du temps et puis elle revient au passé (qui pour de grandes parties du roman est le présent du point de vue du lecteur). Il y avait aussi beaucoup de répétition – comme les avis de Tomas et Tereza en destin et la coïncidence et la référence répétée à la symphonie de Beethoven.

Le roman est une excellente lecture, à moins que le lecteur / la lectrice est une personne qui a les avis arrêtes sur ces sujets est à lire quelque chose au contraire leur dérangée. En place de écrire un livre non romanesque en philosophie, l’écrivain a réalisé une intrigue excellente avec les personnages complexes et un contexte politique tout en s’en tenant l’objectif général.

Je donne une note de huit sur dix.

La Note – 8/10

Bonne journée,
Andy

vendredi 26 avril 2019

Dublinois par James Joyce – commentaire






A noter : J’ai lu ce livre en anglais.

To read the review in English, please click here. 

Dublinois par l’écrivain irlandais James Joyce, est un classique en anglais. C’est un recueil de quinze nouvelles situé à Dublin en Irlande. Le livre couvre des histoires avec des thèmes comme le nationalisme irlandais, la division entre les gens catholiques et protestantes et les stéréotypes irlandais comme leurs indécisions. Le lecteur / La lectrice doit noter que ce livre a été publié en 1914, avant le lever de Pâques en Irlande. Peut-être, ces stéréotypes ne s’applique plus. 

Les histoires ont une variété des personnages les gens dans leur jeunesse, les commis, les hommes riches, les parents, etc. mais en arrive à la conclusion qu'ils ont tous des caractéristiques semblables. Les thèmes que l’écrivain couvre principalement sont comment leur indécision affecte leur vies, l’impact de religion dans leur vie, etc. L’écrivain a aussi décrive la ville de Dublin bien, comme la description de l'éditeur - « au cas où Dublin disparaîtrait sans laisser de trace, il pourrait être reconstruit dans son intégralité en lisant Dublinois par James Joyce ».

J’adore les histoires - « Après la course » et « La Grâce ». « Après la course » était une histoire à propos des amis qui viennent de pays différents et leurs personnages symbolisent leur pays. « La Grâce » est une histoire drôle à propos des amis qui essaient introduire le catholicisme dans la vie de leur compagnon ivrogne. L’écrivain a fait face à une réaction négative en Irlande à l'époque, car le nationalisme irlandais était considéré comme synonyme de catholicisme. 

L’écrivain utilisait beaucoup de mots qui sont uniques au dialecte irlandais d’anglais. Peut-être ce sera difficile pour un lecteur / une lectrice qui ne connais pas les mots dans ce dialecte. C’est vrai que l’éditeur nous donne un glossaire mais c’est ennuyeux si nous devons souvent tourner les pages vers le glossaire. Peut-être ce n’est ne pas un problème dans la traduction française de ce livre. 

Rétrospectivement, beaucoup d'histoires semblent bonnes après avoir lu les notes d'interprétation de l'éditeur, car le contexte de l'histoire est expliqué en détail. Je pense que je connais l’histoire de monde après la révolution industrielle bien, l’histoire d’Irlande et son indépendance inclus, mais j’avais un peu de difficulté quelquefois sans les notes d’interprétation. C’est possible que pour les lecteurs / lectrices, il y aura beaucoup de problèmes pour apprécier certaines des histoires s’ils ne connaissent pas l’histoire d’Irlande. 

Quelques histoires comme « Eveline », cependant c’était à propos de thème d’indécision de gens irlandais, c’était tellement court et je ne peux pas apprécier bien. Une histoire qui s’appelle « Le Mort » a plus de cinquante pages, proche de 20% de livre. Ainsi, la répartition était disproportionnée - beaucoup de histoires était trop courtes.

Les histoires comme « Deux galants » avait de grandes chances d'être un roman, mais ne pouvait pas être apprécié dans son intégralité comme une nouvelle. 

Je me sens que l’écrivain essayait répéter les mêmes thèmes dans quinze nouvelles différents et ça aurait pu être mieux s'il n'y avait qu'un seul roman basé à Dublin.

D'après l'analyse, je donne ce livre une note de quatre sur dix. 

La note - 4/10

Bonné journée
Andy

samedi 23 mars 2019

Les Cerfs-volants de Kaboul (The Kite Runner) par Khaled Hosseini – Commentaire









Le synopsis (de goodreads.com) :



« Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d'un riche commerçant pachtoun, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n'entament leur amitié. Jusqu'au jour où Amir commet la pire des lâchetés... »

Note : J’ai lu ce livre en anglais.

C’est un livre qu’a suggéré par mon ami il y a sept ans puisque j’ai une préférence « loin du courant dominant ». Aussi, l’intrigue est située en Afghanistan, un pays plupart du monde connaissent par les médias internationaux que par la population locale.

L’intrigue est à propos un écrivain américain à succès qui s’appelé Amir. Il veut oublier son passé et son enfance en Afghanistan. Amir a grandi avant l’invasion soviétique avec son père et son meilleur ami Hassan, le fils de l'aide domestique de son père, Ali (d'origine Hazara). Au contraire des pashtouns traditionnels, Amir était plus intéressé en écriture et narration d’histoires. Hassan aimait l’écouter les histoires d’Amir parce que il était illettré. Amir n’était pas encouragé par son père en son loisir mais par un associé de lui, Rahim Khan. 

L’évènement grand pour les enfants à Kaboul était le festival du cerf-volant - où l'un fait voler le cerf-volant et l'autre récupère un cerf-volant qui tombe (connu sous le nom de « Le Kite Runner ») prêtant son titre au livre en anglais.

Après l’invasion soviétique, Amir et son père ont déménagé aux États-Unis. Mais Amir a laissé un passé qu’il ne voulait pas de rappeler, jusqu’à un jour, quand il a reçu une lettre de Rahim Khan, qui lui demande de venir au Pakistan et de lui rendre visite.

C’est le deuxième livre je lisais des écrivains avec l’origines pashtouns (la précédente : Moi, Malala). Similaire que ce livre, l’intrigue de Les Cerfs-volants de Kaboul met en évidence l'évolution progressive de la société au fil du temps. Amir a grandi quand c’était paisible - son père ne rejette pas religion mais il a rejeté les fondamentalistes et crut que la plus grande menace pour la paix étaient les mollahs. D’abord, c’était normale qu'ils regardent des films en farsi ou en hindi, à Téhéran ou à Peshawar. Cependant, la situation a fini par changer avec le temps avec l'invasion soviétique, suivie de la prise de pouvoir par les talibans, et ce changement a été bien expliqué en détail.

La personnage d’Amir était intéressant aussi, puisqu’il n’était pas un protagoniste normal comme les super-héros. Il n’avait pas les capacités extraordinaires et son expertise en vol de cerf-volant était plus due à Hassan. Il n’affronte jamais ses problèmes. Ces traits font qu'il est difficile pour tout lecteur de développer une sympathie particulière pour Amir. Cependant, l'auteur a réussi à garder le lecteur / la lectrice engagé avec Amir jusqu'à la fin de l'histoire.

J’apprécie l’écrivain à emmener le lecteur / la lectrice en travers les temps différents, l'intrigue grandit avec Amir ; qui a grandi quand les fortunes d’Afghanistan s'effondraient. Si le lecteur / la lectrice ne vient pas d’Asie du sud, Les Cerfs-volants de Kaboul n’est pas juste une histoire extraordinaire mais aussi un voyage à travers l'histoire récente de l'Afghanistan.

L'intrigue avait toutefois ralenti lorsque Amir et son père ont déménagé aux Etats-Unis et le reste jusqu'à ce qu'on arrive au dernier tiers. Le dernier tiers qu'il était intéressant de voir les convictions d'Amir et ses souvenirs remis en question à chaque instant, certaines parties des séquences d'action était comme un roman d'Alistair MacLean - incroyable et parfois, sans logique.

Quelquefois, l’écrivain utilisait pachto pour un phrase totale (même s’il y avait la traduction par lui). Puisque je connais une langue très proche, c'était substantiellement intelligible mais cela aurait pu être difficile pour d'autres lecteurs, parfois même ennuyeux.

Pour conclure - j’attendais longtemps avant j’ai commencé lire ce roman. Malgré cela, je dirais que cela valait la peine d'attendre - c'était un paquet complet, l'histoire d'un garçon qui grandit, au milieu d'une crise, s'en sort et puis le passé revient pour vous récupérer.

Considérant cela, je donnerais au livre une note de neuf sur dix.



La Note - 9/10



Bonne journée,

Andy