Résumé :
« Quand la sonnerie a
encore retenti, que la porte du box s’est ouverte, c’est le silence de la salle
qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j’ai eue
lorsque j’ai constaté que le jeune journaliste avant détourné les yeux. Je n’ai
pas regardé du côté de Marie. Je n’en ai pas eu le temps parce que le président
m’a dit dans une forme bizarre que j’aurais la tête tranchée sur une place
publique au nom du peuple français… »
J’ai appris que L’étranger par Albert Camus c’est un classique en français
du propriétaire de la librairie d’où j’ai acheté ce livre. Malheureusement, je
n’ai jamais entendu de parler le nom du romain ou l’écrivain mais je trouve que
c’est dans un sujet et personnage intéressant.
Notre société a beaucoup des règles non écrites et plusieurs fois, ce serai
un problème pour quelqu’un qui ne les suis pas. L’intrigue de L’étranger est à
propos de personnage de Meursault, une personne qui est différente du reste de
la société. Il n’a pas interrompu sa vie normale jusqu’au jour où il a dû faire
face de loi.
L’histoire commence avec la morte de sa mère, qui était dans une asile.
Mais ce qui l’inquiétait le plus, c’était ce que qu’est-ce que les gens pensent
s’il fume devant le cadavre de sa mère. Il recommence sa vie normale toute de
suite, avec son travail, sa nouvelle copine, etc. Il a accepté d’être un témoin
contre la copine arabique de son voisin Raymond, à la suite d’une discorde. Les
évènements qui ont suivi, Meursault finit par commettre un meurtre et les
problèmes avec son attitude d’indifférence commence quand il est devant le
juge.
L’écrivain a créé un personnage intéressant, Meursault est presque comme un
anti héro avec qui le lecteur / la lectrice n’a pas beaucoup de sympathie.
Même s’il n’est pas comme les autres personnes de la société (par exemple, il
n’a pas pleuré la morte de sa mère), est-ce que c’est une bonne raison pour ses
problèmes que quelquefois, les gens pensent que son attitude est un problème encore
plus grave que le meurtre il a commis. L’écrivain m’a fait réfléchir, bien sûr,
je trouve l’attitude de Meursault bizarre mais à mon avis, c’est n’est pas une
raison d’être condamne – et c’était intéressant que le sympathie le personnage
a perdu au début du roman, il a récupéré au milieu.
J’adore la manière lesquels comment Meursault à se détacher dans chaque
situation et ce qui s’aider en fait était son indifférence avec les gens et le
monde. Il restait complexe autant qu'indifférent, il n'était pas non plus
quelqu'un que l'on pourrait qualifier de misanthrope. C’était raconté bien par
l’écrivain. Meursault était un personnage bien créé, mais, je trouve aussi qu’il
était le seul personnage dans ce livre et aucun autre personnage n’avait la
profondeur.
L’intrigue se passe en Algérie, avant son indépendance et même si les
arabiques sont importantes dans cette intrigue, malheureusement, je n’aime pas
la façon dont l’écrivain a déshumanisé les arabiques – aucune de personnages
ont un nom, il n’y a pas aucun de témoins arabique (et je trouve ça bizarre).
Peut-être, ce n’était pas l’intention de l’écrivain et la deuxième partie de ce
roman était raconté par Meursault ; et l'on pourrait interpréter que
l'auteur montrait la division entre les Arabes d'Algérie et les colons français
mais j'ai du mal à donner le bénéfice du doute à l'écrivain en ce cas. Je
comprends qu’il y a un roman écrit par Kamel Daoud – « Meursault, contre-enquête » où l’écrivain a essayé
donner un personnage aux arabiques dans l’intrigue et raconte à nouveau la même
intrigue de L’étranger – maintenant
je suis très intéressé par ce livre. Aussi, même ce se passe à Alger, il
n’aurait pas beaucoup de différence si c’était Alger où quelque autre ville
dans le monde puisque l’écrivain n’a utilisé jamais les facettes propres de la
ville.
A conclure, c’est un roman profond et intéressant – je suis sûr que les
personnes avec un bon niveau de français (pas comme le français pidgin que j’ai
rassemblé) apprécieraient la façon dont Meursault fait valoir ses avis et la
façon dont il les raconte. Je donnerai ce roman une note de sept sur dix.
La note – 7 / 10
Bonne journée,
Andy
Andy