Résumé :
« Il n’a jamais connu que les dunes et le désert, et pour toute
compagnie sa mère qui lui raconte un monde détruit par la folie des hommes. Ici
point de rose à soigner, point de renard ou de planète à chérir, seul compte
l’essentiel : un appentis pour s’abriter des tempêtes de sable ;
quelques palmiers et un puits ; beaucoup de lézards – et de rares légumes.
Consciente que son petit prince devra un jour désirer autre chose, la mère
fait de lui le dépositaire de ses souvenirs. Elle lui représente ce qui
composait l’existence d’avant : le goût du café fumant, l’arôme des
fleurs, la rosée du matin sur les fougères, les notes d’un piano – mas aussi la
haine, la cupidité et la guerre. Elle sait qu’un jour il faudra partir. Ainsi,
lorsqu’elle meurt, le garçon, terrassé par le silence, entreprend un long
voyage pour revenir vers les hommes.
Avec cette fable postapocalyptique d’une rare poésie, Santiago Pajares
interroge ce qu’il reste de nous lorsque les corps sont soumis à la survie et à
la solitude et s’attache à l’inventaire de ce qui est réellement indispensable
à notre bonheur. »
Imaginer la pluie est un roman dystopique de l’auteur Santiago Pajares.
Originalement écrit en espagnol, le personnage principal est un jeune garçon,
Ionah, qui vit avec sa mère dans son appentis au désert. On ne sait pas ni
l’époque, ni où l’histoire se passe, j’ai supposé qu’il s’agît d’au moins deux
siècles après notre époque.
Le titre est pertinent pour le roman, vu qu’Ioanh ne peut qu’imaginer la
pluie, ce n’est que le désert partout, et lui et sa mère survivent en mangeant
des lézards. Cependant, il arrive à imaginer car sa mère a vécu dans une époque
mieux et elle a documenté la pluie, des arbres, etc. La tragédie arrive un jour
quand sa mère est décédée et il n’a pas le choix que quitter l’appentis. Il
rencontre un homme chinois Shui, et avec ses manuscrits, il arrive à confirmer
le journal de sa mère. Une amitié développe entre eux pendant son voyage à
travers le désert.
Après le 50ème page, j’ai su que ce n’est pas un roman pour moi – il y
avait trop de tristesse, et j’ai compris également d’après le monde créé par
l’auteur que les personnages n’avaient aucun moyen pour sortir de cet enfer.
C’était une lecture pénible pour moi, et petit à petit, on voit les personnages
se faiblir pendant le voyage.
Je vais résumer le livre comme un roman sans un intrigue, vu que l’auteur a
décrit ce monde dystopique et c’est tout. Pour moi, le « personnage »
plus développé et décrit par l’auteur dans ce roman est le désert.
Ces sont de types de romans qui s’adresse à un public spécifique et alors,
je trouve que soit il y a des personnes qui adorent le roman, soit les gens qui
le détestent mais personne n’a un avis mitigé. Malheureusement, je fais partie
de cette dernière catégorie et alors, je n’ai pas eu une lecture agréable.
Mais si vous êtes quelqu’un.e qui adore les romans dystopiques qui se
concentre sur un voyage et la construction de ce monde, peut-être vous allez
aimer le livre. Mais ce n’est pas mon type et alors, j’attribuerai une note de
trois sur dix.
La note – 3/10
Bonne journée
Andy
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