Résumé :
« Chacun
a connu dans sa jeunesse quelqu'un qui a su comprendre ses aspirations et ses
inquiétudes, l'a aidé à trouver sa voie, à devenir un adulte. Pour Mitch Albom,
cet homme fut Morrie Schwartz, son professeur d'université.
Après l'avoir
perdu de vue, Mitch apprend que Morrie est atteint d'une maladie mortelle et
qu'il a décidé de transformer sa mort en une dernière leçon de philosophie.
Mitch lui rendra visite pendant de longs mois, pour chercher avec lui la
réponse à cette question qui nous hante tous : comment vivre ? »
A noter : j’ai
lu le livre en anglais
La dernière leçon
est une compilation d'une série d'échanges entre l'auteur Mitch Albom et son
professeur en phase terminale, Morrie Schwartz, atteint de la SLA. L'auteur
avait l'habitude de suivre les cours de Morrie lorsqu'il était étudiant, tous
les mardis, et ils ont continué la même tradition, celle de se rencontrer tous
les mardis, et Mitch de parler de divers aspects de la vie, tels que la
famille, les émotions, la mort, etc.
Le voyage en tant
que tel est merveilleux à lire, et la camaraderie entre Morrie et Mitch est
très bien perçue, chacun ayant quelque chose à donner à l'autre. Mitch a été
inspiré par la positivité dont Morrie a fait preuve, malgré le diagnostic d'une
terrible maladie, et il a vu la positivité dans chaque situation, y compris lorsque
Morrie a commencé à apprécier les dépendances qu'il avait pour accomplir les
activités les plus élémentaires.
Le livre était
également très facile à lire, ce qui est similaire à l'expérience que j'ai eue
avec l'autre livre de Mitch Albom que j'ai lu jusqu'à présent (Les cinq
personnes que j'ai rencontrées là-haut). Ce livre suit très bien l'histoire de
Mitch et la façon dont il parvient à se retrouver lui-même, après toutes ces
discussions avec Morrie.
Alors qu'il était
déçu d'être éloigné de son frère qui était en Espagne, et que l'auteur explique
que Morrie l'a remplacé, cet aspect aurait pu être davantage exploré par
l'auteur. En outre, j'ai eu l'impression que les conversations que Morrie avait
avec Ted Koppel (le journaliste de l'émission) auraient pu être plus
chronologiques, car elles étaient déconnectées et souvent insérées entre les
différents mardis où Mitch est allé rencontrer Morrie, et j'ai souvent perdu la
trace de l'endroit où la conversation s'était arrêtée auparavant.
Cela dit, il
s'agit d'un bon livre, facile à lire, qui vous aide à vous sentir bien, et
c'est pourquoi je lui attribue une note de sept sur dix.
La note – 7 / 10
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