Résumé :
« Mijie est une maîtresse femme. Issue des
rangs de l’armée, elle a ouvert après le décès de son époux une échoppe de
cirage de chaussures dont les affaires sont florissantes. A sa grande surprise,
une jeune voisine élégante vient lui offrir ses services. Cherchant à en savoir
davantage, Mijie comprend que celle-ci veut ainsi défier un mari qui la
délaisse. Dès lors, une véritable complicité se dessine entre les deux femmes,
mêlée chez la première d’un sentiment plus tendre. A cette amitié s’ajoute le
soutien inconditionnel de la belle-mère de Mijie, une vieille dame qui depuis
toujours la seconde avec discrétion.
Hommage à la ville de Wuhan, ce roman explore
quelques-unes des interrogations des femmes chinoises dans une négociation
permanente entre éthique et recherche du bonheur personnel. Et c’est aussi à
travers leur vie, leurs liens et leurs engagements, un portrait sensible de
l’évolution des modes de vie urbains en Chine. »
Une ville à soi est en roman contemporain chinois, publié en 2000, écrit
par Chi Li. Il s’agit principalement des trois femmes ; Mijie, qui tient
un commerce de cirage de chaussures dans une rue animée de Wuhan ;Fengchun,
sa voisine qui a elle rejoint comme employé dans le magasin ;et la
belle-mère de Mijie. Les trois femmes sont de trois générations différentes,
Fengchun la plus jeune et la belle-mère de Mijie la plus vieille, et
évidemment, Mijie au milieu de deux. Fengchun a offert ses services à Mijie
étant donné qu’elle est dans un mariage malheureux et qu'elle veut se distraire.
Mijie a ses propres défis de vie, s'occuper de sa belle-mère vieillissante et
également, être un parent unique pour son fils.
L’auteur a bien utilisé la ville de Wuhan et la rue et les gens sont bien
décrits. J’aime lire les romans traduits car je trouve que cette une belle
façon pour découvrir une autre culture et ici, je me suis senti être en Chine
avec les personnages. Etant donné que l’auteur habite en Chine, j’ai vu des
autres subtilités aussi, où la période avant et après la prise de pouvoir par
le parti communiste est mentionnée comment avant et après la « libération ».
Les personnages, particulièrement Mijie, n’aime pas l’influence des sociétés chinoises
plus ouvertes comme Hong Kong ou Taïwan sur la langue chinoise.
Mais cela dit, pour moi la difficulté était les personnages, et il n’y
avait aucun personnages aimables. Même si m’intrigue parle de l’évolution d’amitié
entre Mijie et Fengchun, c’était une amitié sans égalité, où Mijie a eu trop de
pouvoir, et elle a supposé qu'elle avait le pouvoir de prendre des décisions
sur la vie de Fengchun. Ils ont précisé plusieurs autres choses sur le livre
qui auraient pu être intéressantes – comme le fait que Mijie a été dans l’armée
chinoise, où ses défis comme un parent unique dans une société très conservatrice,
mais l’auteur n’a jamais utilisé ces faits.
Alors, c’est pour cette raison que j’ai un avis mitigé sur le livre car lorsque
j’ai eu une découverte culturelle, l’intrigue n’était pas intéressant, et au
moins, étant donné que Fengchun est une jeune femme, j’ai eu l’attente sur elle,
qu’elle va défier les anciens normes de la société conservatrices et impertinente.
Pour conclure, je donnerai une note de 5 sur 10, et pour préciser, ce sera
4 pour l’intrigue et l’écriture et un autre point pour avoir bien utilisé la
ville, paysages et la culture locale, afin que les lecteur.ice.s puissent avoir
une découverte culturelle.
Note – 5/10
Bonne journée
Andy
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